Le
ton est donné dès la frontière de l'aéroport, laisse tes maladies
à l'extérieur et ne vient pas nous contaminer. Inspection des
chaussures, du matériel d'escalade... Une politique stricte de
lutte contre les parasites importés. A titre d'exemple, pour entrer
dans la réserve des Kauris géants” (les plus grands arbres de NZ),
on passe par un portique, on s'y brosse les chaussures puis on
reçoit une jet aseptisant sous les semelles et enfin on peut les
rincer avec un jet d'eau, on peut alors passer le tourniquet !
On
retrouve cette intention dans les multiples points de tri et la
publicité faite et omniprésente pour la protection de
l'environnement. Les “opportunity shop” traduisent aussi cette
politique. Il s'agit de magasins de vente d'objets d'occasion souvent
fondés par des organismes du type secours populaire, lions club ou
des églises. La seconde vie des objets est une vraie politique
globale efficace pour lutter contre le gaspillage. L'organisation des
campings est aussi très stricte mais protectrice. Quelques aires de
camping gratuites et très bien identifiées (sur des aplis dédiées
(Wikicamp ou campermate). Pour y accéder votre véhicule doit être
autonome c'est à dire posséder des toilettes chimiques, une réserve d'eau de 42 litres et un évier autonome avec bac des eaux usées.
Partout des toilettes points d'eau et station de vidange sont mises
à disposition. De quoi offrir une gestion efficace de la propreté
des sites.
A
côté de cela, on a constaté et des locaux nous ont dit que l'usage
débridé des engins motorisés (jet skis, moto, gros 4*4...)
n'apparaît pas en cohérence avec ce mode vie plus vert. On verra de
nombreuses personnes laissaient leur moteur allumer le temps d'aller
faire des courses de discuter ou de regarder s'il y a des vagues...
Y
a-t-il 2 peuples qui cohabitent ou une petite schizophrénie ?
On
n'en sait rien pour l'heure !
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