lundi 26 août 2019

San Francisco : d'ombres et de lumière...


La réputation de San Francisco n'est pas surfaite, on y trouve de tout, soyez ouvert (Aware Jean-Claude V ?) car tout s'y passe, une ville fascinante pour le meilleur et pour le pire. 
La ville est faite de contrastes et sans se livrer à une étude socio à 2 balles on vous livre quelques unes de nos constatations après 2 jours de vadrouille :

- c'est tout d'abord la lumière qui est marquante, sous les brumes/brouillards le gris est roi, lorsque le soleil perce les lumières éclatent de toute part.

 

- Au niveau variété, le plat de l'océan envahissant la ville rompt avec l'infini du nombre des collines qui offrent des perspectives sans cesse renouvelées. Les bosses se succèdent et donnent l'impression d'une montagne russe.



Cable car conseillé si fatigue passagère !


- Ensuite le contraste architectural entre le côté "Straight" et un aseptisé de downtown et de celui d'une ville pleine de petites maisons anciennes, pleine de vie. La vue de l'Alamo Square et des "painted ladies" avec les gratte-ciels en fond est un must à savourer sans fin. Côté conforme et déjanté se retrouve aussi de façon magnifiée dans le quartier de upper Haight. Lieu mythique et originel de la culture hippie, la rue semble être désormais un grand supermarché bobo de la culture flower power.
On peut y voir et à faire :
  • les magasins de disques, 
  • les smoke shop , 
  • les fresques sur les murs
  •  les librairies spécialisées (anarchie et démon par exemple). 
  • les lieux de vente de fringues, du sado maso au flower power, du cowboy au costumier, du recyclé au luxe...

 
Il faut le voir car l'ambiance y est hors du temps et d'une signification pas nette !!!




- C'est aussi l'omniprésence des parks qui contraste avec les constructions. Le bol d'air du golden gate park est ainsi source de contrastes, un fort thermique venant de l'océan qui le borde balaie le park d'un froid glacial. Quand il s'arrête les températures montent en flèche !



- enfin, dernier contraste saisissant et moins réjouissant,  celui de la richesse et la pauvreté. Le quartier de notre hôtel en est une belle illustration mais je vous le garde pour un prochain post à part... 
En face de notre hôtel, sur cette fresque, "Love" est barré, remplacé par "Homeless"...




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