mardi 12 avril 2016

Bleu, vert et humide...

Comme annoncé la science à 2 balles n'en reste pas là et poursuit son oeuvre éducative,  aujourd'hui :

Bleu, vert et humide : 
Trinité d'une nature généreuse ou équation complexe ?

Commençons par le bleu, la mer évidement, le ciel lorsque visible car oui parfois il pleut. Dans les dessins d'enfants, on a pour habitude de représenter les gouttes de pluie en bleu, mais c'est une erreur de représentation, car lorsqu'elles tombent elles sont grises ou mieux transparentes. Donc par un phénomène complexe, les gouttes grises remplissent la mer bleue et font pousser la nature verte.
Résumons temporairement : du transparent vient le bleu et le vert.
Si l'étude chromatologique précédente apparaît comme scientifiquement assez faible,  une réalité (cette fois vraie voire véritable) s'impose tout de même : du transparent vient l'humide...
 Et pour humide c'est humide. Degré d'hygrométrie digne des meilleurs scores électoraux de feu Saddam, mère nature offre une atmosphère onctueuse et enrobante. L'impression de nager dans une crème anglaise confère parfois au quotidien une sensation étrange qui n'à rien à voir avec l'origine britannique du dessert précédemment cité...
Cependant le sentiment permanent  de se caraméliser n'empêche pas une vie pleine. Lorsque le gris du ciel se liquéfie, rien de tel qu'une immersion dans le bleu car à hygrométrie égale, autant mettre des palmes... Autre option, une plongée dans le vert (attention métaphore) car ici la verdure suinte la luxuriance et l'eau (attention zeugma).

Vous l'aurez compris, parfois il pleut, c'est le cas en ce moment, et cela donne l'occasion d'écrire des articles  abscons, mais au service du progrès scientifique.
Cette conférence est désormais terminée, rideau... de pluie...

Pr Aziz

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